C'est une sorte de pèlerinage vers les sources de ma présence désormais au long cours en territoire helvétique... Mon dernier billet de blog remontait à 2013, lorsque je fustigeais le caractère démagogique de la "Stratégie Nationale de Santé" de Marisol Touraine. Il y a eu d'autres désillusions par par suite, une succession qui a fini par me pousser à voguer vers des contrées où la conception de la médecine libérale serait plus proche de la mienne.
Cela explique pourquoi j'écris ces lignes depuis la Suisse, dont je m'attache aujourd'hui encore à mieux comprendre le fonctionnement. Dans cette démarche, j'ai parcouru "La Santé en Suisse" aux éditions Loisirs et Pédagogie et sa lecture a fait revenir dans mon esprit quelques réflexions fugaces. Notamment, cette illustration humoristique qui fait dire à un employé de l'OMS: "... Il faut réduire le taux de mortalité..." à qui un autre employé répond "... Oui, on n'est pas assez nombreux sur cette planète !..." m'a fait repenser à la problématique du contrôle de la population mondiale.
Un raisonnement simpliste pourrait être: si l'on dispensait des soins appropriés à tous les habitants des pays du Tiers-Monde, l'allongement de leur espérance de vie propulserait la population mondiale à des niveaux rapidement intolérables. Simpliste, mais pas si faux pourtant.
<A suivre...>
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire